Le grand retour de Gorillaz avec ce cinquième album

Quelques mois après la sortie de Humanz, revenons sur ce dernier album de Gorillaz qui, une fois n’est pas coutume, est très difficile à décrire. Après une écoute de plus d’une heure (car oui, l’album se compose de 26 titres, dont 6 interludes), l’album se veut vraiment excellent, voire irréprochable.

En effet, la diversité des compositions est vraiment le point fort de l’album (et du groupe/duo de façon général).

De plus, l’album met en avant de nombreuses collaborations telles que Rag’n’Bone Man ou encore DRAM pour les plus connus.

Ces différents featuring permettent à l’album de se diversifier encore plus puisque chaque collaboration permet aux titres d’avoir leur identité propre.

La principale inquiétude que l’on pourrait avoir à l’écoute, c’est de savoir si l’album est cohérent. C’est ici que le génie de Gorillaz prend sens, malgré la diversité incroyable des différents morceaux, le groupe arrive à garder une continuité tout au long de l’album (les interludes y sont pour quelque chose).

Pour finir, les titres les plus marquants à mon sens sont Ascension, Saturnz Barz, Andromeda, Hallelujah Money et The Apprentice. Selon moi, ces titres n’ont rien à envier aux références du groupe tel que Feel Good Inc ou encore On Melancholy Hill.

Pour conclure, après 7 ans d’attente, Humanz ne déçoit pas et se hisse parmi les meilleurs albums hip-hop de ces dernières années.

Recommandé par Jonas.